Le poids de mon ego m'embourbe au marécage
De la vie du médiocre ; mais où est le sage ?
Dans ce coeur perverti ne connaissant pas d'âge ?
Dans cet esprit fouilli où gronde tant de rage ?
Où donc est la voie droite ? Pour tourner la page.
Mille fois on me l'a dit... Je jouis encore de l'éphémère !
La volonté de me changer, trouver mes frères.
Le temps court, j'ai fini de pleurer sur ma mère
Entre deux abandons je retrouve le Père
Je vis dans le chaos, je suis loin d'être fier.
De l'humanité je suis un membre malade,
Dans les jardins, plus en santé, poussent salades,
Même le vent, obéissant, fait des tornades.
Le lapin, lui, sans rébellion offre son râble
Mais nous humains, fiers et puants on est blâmables.
S'accrocher au Divin c'est cela que je crois
Etre une joie de vivre pour ceux qu'ont le choix.
Un choix interdit par ceux qu'élèvent la croix,
Sous le poids de leurs siècles on a perdu la foi.
Il faut se libérer pour rejoindre le Roi.
Le bien n'est retrouvé que dans la liberté,
Tous les jours pour cela on doit sortir l'épée ;
Sans relâche dans nos coeurs le mal est à frapper.
Quotidien épuisant qu'il nous faut dominer
Nous te vaincrons, "présent" alors sera nommé.
Fraternellement
François
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